
Confrérie des Pénitents

Prière des affiliés pour la Confrérie des Pénitents
Seigneur, de même que tu as fait de saint François un reflet de l’image du Christ par une vie d’humilité et de pénitence, aide-nous, ainsi que tous nos frères et sœurs, à mourir au monde avec toi, afin que nos cœurs soient enflammés du feu de ton amour et que nous puissions enfin être amenés à une vie nouvelle. Aie pitié de tous ceux qui assument la responsabilité de la Confrérie, en particulier l’évêque, le visiteur, le ministre général, les ministres régionaux, les ministres, les responsables et les formateurs. Père de tous, renouvelle les marques de la Passion de Jésus dans nos âmes et conduis-nous à la perfection pour ta gloire. Nous te le demandons par le Christ notre Seigneur, qui vit et règne avec toi, et le Saint-Esprit, Dieu, pour les siècles des siècles. Amen.
Notre-Dame des Anges, prie pour nous.
Saint François, prie pour nous.
Sainte Claire, prie pour nous.
Saint Antoine, prie pour nous. Vous tous, saints de Dieu, priez pour nous. Amen.

2025/04/13

Chapelet de la Couronne Franciscaine, cinq dizaines pour la ceinture, Provenance d’Italie
Ordo Franciscanus Saecularis (affilié à CP Fort Wayme)
Confrérie des Pénitents (personnes qui regrettent leurs péchés et souhaitent les réparer)
Le statut canonique de la Confrérie des Pénitents est celui d’une association privée de fidèles avec recommandation.
Affiliés de la Confrérie des Pénitents
La Confrérie des Pénitents est profondément reconnaissante envers Dieu pour ses Affiliés. Les Affiliés sont ceux qui la soutiennent et prient pour elle, mais qui ne participent pas à la formation
Les obligations suivantes doivent être remplies pour obtenir le statut d’Affilié :
- Promouvoir la pénitence (conversion) selon des modalités adaptées à la vocation de l’Affilié.
- Assister à une messe par an pour les pénitents décédés.
- Vivre pleinement l’article 26 et les statuts de la Règle de la CFP exige la paix avec tous.
- Être consacré à Notre-Dame et prier quotidiennement une prière de consécration mariale de son choix.
- Réciter quotidiennement une brève prière des affiliés pour la Confrérie des Pénitents.
- Les prêtres, diacres et religieux affiliés sont également invités à envisager de devenir assistants spirituels pour les sections ou cercles de la CFP et/ou directeurs spirituels pour les membres et associés de la CFP, selon leur temps, leurs souhaits et leurs obligations. Les prêtres affiliés sont invités à célébrer une messe annuelle pour tous les pénitents décédés.
Les affiliés recevront la Prière des affiliés et un Certificat d’affiliation. Avec l’autorisation des dirigeants de la Confrérie qui organisent l’événement, ils peuvent assister aux activités et réunions de la CFP. La Confrérie des Pénitents prie quotidiennement pour tous ses affiliés.
Le formulaire de demande d’affiliation suivant peut-être copié-collé dans un document Microsoft Word et envoyé par courrier postal à la Confrérie des Pénitents. Il peut également être copié-collé dans un courriel et envoyé à la CFP. Si vous rencontrez des difficultés avec l’un ou l’autre de ces formulaires, veuillez nous contacter ; nous veillerons à ce que vous receviez une demande.
Prière des affiliés pour la Confrérie des Pénitents
Seigneur béni, comme tu as fait de saint François un reflet de l’image du Christ par une vie d’humilité et de pénitence, aide-nous, ainsi que tous nos frères et sœurs, à mourir dans le monde avec toi, afin que nos cœurs soient enflammés du feu de ton amour. Qu’enfin, nous puissions être ramenés à une vie nouvelle. Aie pitié de tous ceux qui assument la responsabilité de la Confrérie, en particulier l’évêque, le visiteur, le ministre général, les ministres régionaux, les ministres, les responsables et les formateurs. Père, renouvelle les marques de la Passion de Jésus dans nos âmes et conduis-nous à la perfection pour ta gloire. Nous te le demandons par le Christ notre Seigneur, qui vit et règne avec toi, et le Saint-Esprit, Dieu, pour les siècles des siècles. Amen.
Notre-Dame des Anges, priez pour nous.
Saint François, priez pour nous.
Sainte Claire, priez pour nous.
Saint Antoine, priez pour nous.
Vous tous, saints de Dieu, priez pour nous. Amen.


Ordo Franciscanus Saecularis (OFS)
Eric Michel est affilié à la Confrérie des Pénitents de Fort Wayne
L’Ordre Franciscain Séculier (OFS)
Tiers ordre franciscain (TOF)
♰ Pax et Bonum ♰
Veuillez noter : Eric Michel est membre de CFP Affilié et non Eric Michel Ministries International est membre d’une charte de l’Ordre des Franciscains de l’Eucharistie (OFE).
Ce site web présente des informations sur les Franciscains depuis leur fondation. L’EMMI ne représente pas l’OFS. Ce site web n’est affilié ni approuvé par l’Ordre Franciscain Séculier ni par aucune autre fraternité, à l’exception de notre charte de l’Ordre des Franciscains de l’Eucharistie.
L’ordre a été fondé en 1209 par saint François d’Assise en tant qu’ordre séculier de troisième ordre, un ordre laïc catholique composé d’hommes et de femmes associés aux franciscains. Approuvé le 18 août 1289, époque à laquelle l’OFS était un ordre de pénitents qui vivaient dans leurs propres maisons, tandis que le R-XR0400 – Tertius Ordo Regularis Sancti Francisci (TOR) vivait déjà dans de petites communautés. Règle renouvelée approuvée le 24 juin 1978 par Paul VI. Également connu sous le nom de Tiers Ordre Séculier de Saint François et Terz’Ordine Francescano.
L’Ordre franciscain séculier (anciennement Tiers-Ordre de Saint-François) a été fondé par saint François d’Assise au XIIIe siècle. À l’origine, nous étions connus sous le nom de Frères et Sœurs de la Pénitence. Au sein de l’Église catholique, l’Ordre franciscain séculier appartient à une famille franciscaine mondiale qui œuvre pour la justice, la paix et la sauvegarde de la création dans le monde entier.
La Règle de l’Ordre Franciscain Séculier : « La famille franciscaine, parmi tant d’autres familles spirituelles suscitées par l’Esprit Saint dans l’Église, unit tous les membres du peuple de Dieu – laïcs, religieux et prêtres – qui se reconnaissent appelés à suivre le Christ sur les traces de saint François d’Assise. De diverses manières et sous de diverses formes, mais en union vivifiante les uns avec les autres, ils entendent présenter le charisme de leur Père séraphique typique dans la vie et la mission de l’Église. »
L’Ordre Franciscain Séculier EMMI est une communauté d’hommes et de femmes catholiques de tous les rites en communion avec Rome.
Notre énoncé de mission – « Notre mission est d’observer l’Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ en suivant l’exemple de notre saint père, saint François d’Assise et le bel exemple de notre bien-aimée sainte Claire d’Assise, qui ont fait du Christ l’inspiration de leur vie, dans un esprit de communauté, d’humilité, d’adoration et de compassion, reflétant le Christ dans nos vies. »
Pour devenir franciscain séculier, il faut :
- professer la foi catholique
- vivre en communion avec l’Église
- être de bonne moralité
- avoir une vocation discernée pour l’Ordre
Règles:
- Au Nom du Seigneur commence la vie des Frères Mineurs: La Règle et la vie des Frères Mineurs consistent à observer le saint Évangile de Notre Seigneur Jésus-Christ, en vivant dans l’obéissance, sans biens et dans la chasteté. Frère François promet obéissance et révérence au Seigneur Pape Honorius, à ses successeurs canoniquement élus et à l’Église romaine. Les autres frères seront tenus d’obéir à frère François et à ses successeurs.
- De ceux qui désirent embrasser cette Vie et comment ils doivent être reçus: Si quelqu’un désire embrasser cette vie et rejoindre nos frères, qu’ils l’envoient à leurs ministres provinciaux, à qui seul et non à d’autres est accordé le pouvoir de recevoir des frères. Mais que les ministres les examinent avec soin quant à la foi catholique et aux sacrements de l’Église. Et s’ils croient tout cela, s’ils le confessent fidèlement et l’observent fermement jusqu’au bout, s’ils n’ont pas d’épouse, ou s’ils en ont une et que leurs épouses sont déjà entrées au monastère, ou s’ils leur ont donné la permission, avec l’autorisation de l’évêque diocésain, après avoir fait vœu de continence, et si leurs épouses sont d’un âge tel qu’aucun soupçon ne puisse naître à leur égard, qu’ils [les ministres] leur disent la parole du saint Évangile : qu’ils aillent vendre tous leurs biens et s’efforcent de les distribuer aux pauvres. S’ils ne le peuvent pas, leur bonne volonté suffit. Quant aux frères et à leurs ministres, ils ne doivent pas se soucier de leurs affaires temporelles, qu’ils peuvent gérer librement, selon ce que le Seigneur leur inspire. Si un conseil est nécessaire, les ministres auront le pouvoir de les envoyer vers des hommes pieux dont les conseils permettront de distribuer leurs biens aux pauvres. Ensuite, on leur donnera des vêtements de probation : deux tuniques sans capuchon, une cordelette, des caleçons et un chaperon descendant jusqu’à la cordelette, à moins que les mêmes ministres n’en décident autrement selon Dieu. L’année de probation terminée, ils seront admis à l’obéissance, promettant d’observer toujours cette vie et cette règle. Et selon le commandement du Seigneur Pape, il ne leur sera en aucun cas permis de quitter cette religion, car, selon le saint Évangile : « Nul homme qui met la main à la charrue et regarde en arrière n’est propre au royaume de Dieu.» Ceux qui ont déjà promis l’obéissance porteront une tunique avec capuchon et, s’ils le souhaitent, une autre sans capuchon. Ceux qui y sont contraints pourront porter des chaussures. Tous les frères seront vêtus de vêtements modestes, et pourront les rapiécer avec des morceaux de toile de sac et d’autres choses, avec la bénédiction de Dieu. Je les exhorte à ne pas mépriser ni juger les hommes qu’ils voient vêtus de vêtements délicats et voyants, consommant des viandes et des boissons délicates, mais plutôt à se juger et à se mépriser soi-même.
- De l’Office divin et du jeûne ; et comment les frères doivent traverser le monde: Les clercs célébreront l’office divin selon l’ordre de la sainte Église romaine, à l’exception du Psautier, pour lequel ils pourront avoir des bréviaires. Les laïcs diront vingt-quatre Paternoster pour les Matines ; cinq pour les Laudes ; sept pour les Prime, Tierce, Sexte et Nones ; douze pour les Vêpres ; sept pour les Complies ; et ils prieront pour les défunts. Qu’ils jeûnent depuis la Toussaint jusqu’à la Nativité du Seigneur. Le saint Carême commence à l’Épiphanie et dure quarante jours, consacrés par le Seigneur par son saint jeûne. Que ceux qui le pratiquent volontairement soient bénis par le Seigneur, et que ceux qui ne le souhaitent pas soient libres de s’y soumettre. Ils doivent jeûner pendant l’autre Carême jusqu’à la Résurrection du Seigneur. Ils ne seront toutefois tenus de jeûner que le vendredi. Les frères ne seront pas tenus au jeûne corporel en cas de nécessité manifeste. Je conseille, avertis et exhorte mes frères dans le Seigneur Jésus-Christ, lorsqu’ils parcourent le monde, à ne pas se quereller, à ne pas se disputer, à ne pas juger les autres ; mais à être doux, paisibles, modestes, doux et humbles, parlant honnêtement à tous, comme il convient. Et ils ne doivent pas monter à cheval, sauf en cas de nécessité manifeste ou d’infirmité. Qu’ils disent d’abord : « Dans toute maison où ils entrent : Paix à cette maison !» Et, selon le saint Évangile, il est permis de manger de toute nourriture qui leur est présentée.
- Que les Frères ne doivent pas recevoir d’argent: J’enjoint formellement à tous les frères de ne recevoir ni argent ni pièces de monnaie, ni eux-mêmes ni par personne interposée. Néanmoins, pour les besoins des malades et pour l’habillement des autres frères, seuls les ministres et les custodes veilleront avec vigilance, par l’intermédiaire d’amis spirituels, selon les lieux, les époques et les climats froids, selon qu’ils le jugeront opportun, étant entendu que, comme il a été dit, ils ne recevront ni argent ni pièces de monnaie.
- De la manière de travailler: Que les frères à qui le Seigneur a donné la grâce de travailler œuvrent fidèlement et avec ferveur, afin qu’en bannissant l’oisiveté, ennemie de l’âme, ils n’éteignent pas l’esprit de sainte prière et de dévotion, auquel toutes les choses temporelles doivent être subordonnées. Ils peuvent cependant recevoir en récompense de leur travail les choses nécessaires à leur corps et à celui de leurs frères, à l’exception des pièces de monnaie, et cela humblement, comme il convient aux serviteurs de Dieu et aux disciples de la très sainte pauvreté.
- Que les Frères ne s’approprient rien : et de demander l’aumône et des Frères malades: Les frères ne s’approprieront rien, ni maison, ni lieu, ni rien. Et comme pèlerins et étrangers en ce monde, servant le Seigneur dans la pauvreté et l’humilité, qu’ils aillent avec confiance en quête d’aumônes, et qu’ils n’aient pas à rougir, car le Seigneur s’est fait pauvre pour nous en ce monde. Voilà, mes très chers frères, le comble de la pauvreté la plus sublime qui vous a fait héritiers et rois du royaume des cieux : pauvres en biens, mais exaltés en vertu. Que ce soit là votre partage, car il mène au monde des vivants ; attachez-vous à lui sans réserve, mes frères bien-aimés, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, ne désirez jamais rien posséder d’autre sous le ciel. Où que soient les frères, qu’ils se montrent mutuellement de la même famille. Et que chacun fasse connaître à l’autre ses besoins avec confiance. Car si une mère nourrit et aime son fils charnel, combien plus doit-elle aimer et nourrir son frère spirituel ! Et si l’un d’eux tombe malade, les autres frères doivent le servir comme ils désirent être servis.
- De la pénitence à imposer aux frères qui pèchent:Si l’un des frères, à l’instigation de l’ennemi, commet un péché mortel par les fautes pour lesquelles il a été ordonné parmi les frères de recourir uniquement aux ministres provinciaux, les frères ci-dessus sont tenus d’y recourir au plus tôt et sans délai. Mais que les ministres, s’ils sont prêtres, lui imposent la pénitence avec miséricorde ; s’ils ne sont pas prêtres, qu’ils la fassent imposer par d’autres prêtres de l’Ordre, selon ce qui leur paraîtra le plus opportun, selon Dieu. Et ils doivent prendre garde de ne pas s’irriter ou s’affliger à cause des péchés d’autrui, car la colère et l’affliction entravent la charité, en eux-mêmes et chez les autres.
- De l’élection du Ministre Général de cette Confrérie et du Chapitre de Pentecôte: Tous les frères sont tenus d’avoir un des frères de cette religion comme ministre général et serviteur de toute la confrérie, et ils sont strictement tenus de lui obéir. À sa mort, l’élection d’un successeur doit être faite par les ministres provinciaux et les custodes lors du Chapitre de Pentecôte. Les ministres provinciaux sont tenus de se réunir simultanément, quel que soit le lieu désigné par le ministre général, et ce, une fois tous les trois ans ou à un intervalle plus ou moins long selon ce qu’il décide. Si, à un moment donné, il apparaît à l’ensemble des ministres provinciaux que le ministre général susmentionné ne suffit pas au service et au bien commun des frères, les ministres ci-dessus, à qui l’élection a été confiée, seront tenus d’en élire un autre, comme le veut la coutume, au nom du Seigneur. Mais après le Chapitre de Pentecôte, les ministres et les custodes peuvent chacun convoquer leurs frères à un chapitre de leur custode une fois par an, s’ils le souhaitent et si cela leur semble opportun.
- Des prédicateurs: Les frères ne doivent pas prêcher dans le diocèse d’un évêque si celui-ci s’y oppose. Et aucun des frères ne doit oser prêcher au peuple, de quelque manière que ce soit, sans avoir été examiné et approuvé par le ministre général de cette confrérie, et sans que ce dernier lui ait accordé la charge de prédication. J’avertis et exhorte également les frères à prêcher avec ardeur et pureté, pour l’utilité et l’édification du peuple, en annonçant vices et vertus, châtiments et gloire, avec brio, car le Seigneur a abrégé sa parole sur terre.
- De l’avertissement et de la correction des frères Les frères ministres et serviteurs des autres frères visiteront et avertiront leurs frères et les corrigeront humblement et charitablement, sans rien leur commander contre leur âme et notre Règle. Les frères soumis, quant à eux, doivent se rappeler que, pour Dieu, ils ont renoncé à leur propre volonté. C’est pourquoi je leur ordonne d’obéir strictement à leurs ministres dans tout ce qu’ils ont promis au Seigneur d’observer, et de ne pas aller contre leur âme et notre Règle. Et partout où des frères voient et savent qu’ils ne peuvent observer la règle spirituellement, ils doivent et peuvent recourir à leurs ministres. Que les ministres les reçoivent avec charité et bienveillance, et fassent preuve d’une si grande familiarité envers eux qu’ils [les coupables] puissent parler et agir avec eux comme des maîtres avec leurs serviteurs, car il doit en être ainsi puisque les ministres sont les serviteurs de tous les frères. J’avertis et j’exhorte également les frères dans le Seigneur Jésus-Christ à se garder de tout orgueil, de toute vaine gloire, de toute envie, de toute convoitise, des soucis et des sollicitudes de ce monde, des médisances et des murmures. Que ceux qui ignorent les lettres ne se soucient pas d’apprendre les lettres, mais qu’ils considèrent qu’ils doivent, par-dessus tout, désirer posséder l’esprit du Seigneur et sa sainte œuvre, le prier toujours d’un cœur pur, faire preuve d’humilité, de patience dans la persécution et dans l’infirmité, et aimer ceux qui nous persécutent, nous réprimandent et nous accusent, car le Seigneur a dit : « Aimez vos ennemis… et priez pour ceux qui vous persécutent et vous calomnient. » « Heureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, car le royaume des cieux est à eux. » « Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé. »
- Que les Frères ne doivent pas entrer dans les monastères de religieuses:Je recommande strictement à tous les frères de ne pas avoir d’intimité ni de relations suspectes avec des femmes, et de ne laisser entrer dans les monastères de moniales que celles auxquelles le Siège apostolique a accordé une permission spéciale. Ils ne doivent pas non plus être parrains d’hommes ou de femmes, afin d’éviter tout scandale entre frères ou concernant les frères.
- De ceux qui vont parmi les Sarrasins et autres infidèles: mQue tous les frères qui, par inspiration divine, désirent se rendre parmi les Sarrasins ou autres infidèles, demandent donc à leurs ministres provinciaux de les quitter. Mais les ministres ne doivent permettre d’aller qu’à ceux qu’ils jugent dignes d’être envoyés. De plus, j’enjoint aux ministres, par obéissance, de demander au Seigneur Pape, l’un des cardinaux de la sainte Église romaine, d’être le gouverneur, le protecteur et le correcteur de cette confrérie, afin que, toujours soumis et soumis aux pieds de cette même sainte Église, enracinés dans la foi catholique, nous puissions observer la pauvreté, l’humilité et le saint Évangile de Notre Seigneur Jésus-Christ, que nous avons fermement promis.

Prière pour la paix de François
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix.
Seigneur, fais de moi un défenseur de tous ceux qui sont discriminés et exclus.
Là où des personnes sont discriminées en raison de leur race,
Que je défende la fraternité ;
Là où des personnes sont désavantagées ou persécutées en raison de leur religion,
Que je défende la liberté religieuse ;
Là où des personnes sont discriminées en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre,
Que je défende l’égalité et leur dignité ;
Là où des personnes sont traitées comme des esclaves,
Que je défende leur liberté ;
Là où des personnes migrent et cherchent refuge,
Que je défende leur protection et leur sécurité ;
Là où des personnes sont expulsées de leurs terres et de leur foyer,
Que je défende l’indemnisation ;
Là où des personnes exploitent les ressources de la terre pour leurs intérêts personnels,
Que je défende la justice et la solidarité ; Là où notre mère la Terre est endommagée et polluée,
Je milite pour la protection et le respect de la Création.
Là où peuples et nations se combattent,
Je milite pour la paix et la réconciliation.
Car c’est Toi qui es présent en nos sœurs et nos frères.
C’est Toi qui nous as donné une dignité inaliénable de créatures.
Avec Jésus notre Seigneur et Frère, nous te prions :
Que ton règne vienne, et qu’il soit fait sur la terre comme au ciel.
Sœurs et frères de François et Claire, dans une demande de prière, Marie et moi demandons des prières pour les familles des franciscains.
- Commission pour le séminaire et la formation religieuse au séminaire et à l’académie biblique « Pas de Jésus ».
- Commission pour le dialogue interreligieux
- Commission pour le travail et l’aumônerie
- Commission pour l’œcuménisme à l’Assemblée interconfessionnelle des Églises et des organisations para-ecclésiales

Liens catholiques:
- https://www.vatican.va/content/vatican/fr.html
- https://www.cccb.ca/
- https://www.usccb.org/sites/default/files/flipbooks/catechism/
- https://www.wordonfire.org
- https://www.usccb.org/
- https://www.vaticannews.va/en.html
- https://www.vatican.va/content/vatican/en.html



Diocèse catholique romain de Fort Wayne–South Bend
Le diocèse de Fort Wayne–South Bend (latin : Dioecesis Wayne Castrensis–South Bendensis) est un territoire ecclésiastique de l’Église latine, ou diocèse, de l’Église catholique dans le centre-nord et le nord-est de l’Indiana, aux États-Unis.

La cathédrale de l’Immaculée Conception de Fort Wayne est la cathédrale principale du diocèse, et la cathédrale Saint-Matthieu de South Bend est la cathédrale associée.

L’évêque Kevin C. Rhoades a été nommé évêque de Fort Wayne-South Bend par le pape Benoît XVI le 14 novembre 2009 et a été installé le 13 janvier 2010.

Notes: Les armoiries ont été conçues et adoptées lors de l’érection et de l’adoption du diocèse en 1960. Écusson : Les armoiries du diocèse sont composées d’un croissant de lune au sommet avec un mur fortifié en dessous. Le mur contient trois croix de Bottony. Sous le mur se trouve un méandre de rivière qui coule en diagonale avec une fleur de lys dessus. Un séraphin à six ailes se tient entre la rivière et le mur. Symbolisme Le croissant de lune représente Marie, la mère de Jésus et patronne du diocèse. Les trois croix représentent la Sainte Trinité. Le mur fortifié représente Fort Wayne. L’ange identifie le patron de la cathédrale de South Bend. La ligne ondulée représente South Bend. La fleur de lys rappelle la colonisation de cette région par les catholiques français.
Histoire
La région de l’Indiana faisait partie de la colonie française de la Nouvelle-France au cours du XVIIe siècle et de la première moitié du XVIIIe siècle. Des commerçants de fourrures et des missionnaires français sous la direction de l’évêque de Québec l’ont exploré. Il est devenu territoire britannique après la fin de la guerre franco-indienne en 1763 ; Cependant, le gouvernement britannique a refusé de permettre aux colons américains d’entrer dans la région.
Plusieurs années après la Révolution américaine de 1789, le pape Pie VI érigea le diocèse de Baltimore, couvrant l’ensemble des États-Unis. Jean François a servi comme vicaire général dans l’Ouest de 1798 jusqu’à sa mort en 1804. En 1808, le pape Pie VII a érigé le diocèse de Bardstown, avec juridiction sur le territoire de l’Indiana et d’autres régions du Midwest. En 1832, Stephen Badin établit une mission à South Bend dans l’Indiana
En 1679, l’explorateur français René-Robert Cavelier, sieur de La Salle, fut le premier Européen à traverser l’Indiana après avoir atteint l’actuelle South Bend sur la rivière Saint-Joseph. Je suis revenu l’année suivante pour découvrir la région. Les commerçants de fourrures franco-canadiens arrivèrent bientôt, apportant des couvertures, des bijoux, des outils, du whisky et des armes pour échanger des peaux avec les Amérindiens.
En 1702, le sieur Juchereau établit le premier comptoir commercial près de Vincennes. En 1715, le sieur de Vincennes construit le fort Miami à Kekionga, aujourd’hui Fort Wayne. En 1717, un autre Canadien, Picote de Beletre, construisit le fort Ouiatenon sur la rivière Wabash pour contrôler les routes commerciales des Amérindiens du lac Érié au fleuve Mississippi.
En 1732, le sieur de Vincennes construit un deuxième poste de traite des fourrures à Vincennes. Les colons canadiens-français, qui avaient quitté le poste précédent en raison des hostilités, revinrent en nombre plus important. Les colons britanniques arrivèrent de l’Est quelques années plus tard et se battirent contre les Canadiens pour le contrôle du lucratif commerce des fourrures. En conséquence, des combats entre les colons français et britanniques ont eu lieu tout au long des années 1750.
Les tribus amérindiennes de l’Indiana se sont rangées du côté des Canadiens français pendant la guerre de Sept Ans. Avec la victoire britannique en 1763, les Français furent contraints de céder à la couronne britannique toutes leurs terres en Amérique du Nord à l’est du fleuve Mississippi et au nord et à l’ouest des colonies.
Les tribus de l’Indiana n’ont pas abandonné : elles ont capturé Fort Ouiatenon et Fort Miami pendant la rébellion de Pontiac. La proclamation royale britannique de 1763 désignait les terres à l’ouest des Appalaches pour l’usage des Amérindiens et excluait les colons britanniques de la région, que la Couronne appelait « territoire indien ».

François-Xavier de Montmorency-Laval, communément appelé François de Laval [30 avril 1623 – 6 mai 1708), était un prélat catholique français qui a servi comme vicaire apostolique de la Nouvelle-France de 1658 à 1674 et comme évêque de Québec depuis sa création en 1674 jusqu’à sa retraite en raison de problèmes de santé en 1688. Il a continué à travailler en Nouvelle-France jusqu’à sa mort en 1708.
Parmi ses réalisations, on compte la fondation du Séminaire de Québec en 1663. Laval était membre de la famille Montmorency, mais il renonça à ses droits d’héritier pour poursuivre sa carrière ecclésiastique.
Le pape Jean-Paul II l’a béatifié le 22 juin 1980 et le pape François l’a déclaré saint le 3 avril 2014.
En 1674, quinze ans après son arrivée en Nouvelle-France, Laval demande que le vicariat soit élevé au rang de diocèse. Le Saint-Siège établit le diocèse de Québec le 1er octobre 1674, nommant Laval son premier évêque.
J’ai réexaminé la question de la vente d’alcool aux peuples autochtones. En 1675, Laval, malgré les objections du gouverneur Louis de Buade de Frontenac, excommunia tous ceux qui leur vendaient de l’alcool. Le 24 mai 1679, Laval obtient un décret royal interdisant la traite.
En 1678, il obtient un édit royal stipulant que des cures permanentes seront établies dans la colonie. En 1681, il établit les limites des paroisses.
Parmi les premiers représentants de la culture française en Amérique du Nord figuraient les missionnaires jésuites, qui cherchaient à apporter les enseignements de l’Église catholique aux Amérindiens.
Le mystère historique de cette semaine porte sur un missionnaire jésuite arrivé en Nouvelle-France (aujourd’hui le Canada) en 1625. Il a passé la majeure partie du reste de sa vie parmi les Indiens Hurons, étudiant leur langue, leur culture et leur religion et tentant de les convertir au christianisme. Il fut tué en 1649 lorsqu’une bande d’Iroquois attaqua la mission huronne où il séjournait.
Bien que le missionnaire jésuite en question ne semble jamais avoir mis les pieds dans ce qui est aujourd’hui l’État Hoosier, il a un lien avec l’Indiana : un lycée préparatoire jésuite d’Indianapolis, ouvert en 1962, porte son nom. 1688, Allouez fonde la mission Saint-Joseph chez les Potawatomi dans le nord de l’Indiana.

Jacques Marquette, S.J. [1er juin 1637 – 18 mai 1675), parfois connu sous le nom de Père Marquette ou James Marquette, était un missionnaire jésuite français qui fonda la première colonie européenne du Michigan, Sault Sainte Marie, et fonda plus tard Saint Ignace. En 1673, Marquette, avec Louis Jolliet, un explorateur né près de Québec, fut le premier Européen à explorer et à cartographier la partie nord de la vallée du Mississippi.
La plupart des missions jésuites en Amérique du Nord se trouvaient dans le Canada d’aujourd’hui, mais elles ont exploré et cartographié une grande partie de l’Ouest. Les missionnaires français Père Marquette et Louis Jolliet furent les premiers Européens à explorer et cartographier la partie nord du fleuve Mississippi, jusqu’à la rivière Illinois.
Peter De Smet était un jésuite belge actif dans le travail missionnaire parmi les Indiens des Plaines au milieu du XIXe siècle. On dit que ses nombreux voyages missionnaires totalisaient 180 000 miles. Il était connu sous le nom de « l’ami de Sitting Bull » parce qu’il a persuadé le chef de guerre sioux de participer aux négociations avec le gouvernement des États-Unis pour le traité de Fort Laramie de 1868.